UNE AIDE DE 33 MILLIARDS DE FCFA DU FMI POUR LE REDRESSEMENT ÉCONOMIQUE DE LA RCA GRÂCE A LA BONNE GOUVERNANCE ENGAGÉE PAR LE PRÉSIDENT TOUADÉRA

Suite aux réformes de reconstruction nationale engagées par le Président Faustin Archange Touadéra durant sa gouvernance, le Fonds monétaire international (FMI) a débloqué une nouvelle tranche de 58 millions de dollars, soit 33 milliards FCFA, en faveur de la République centrafricaine. Ce versement intervient après l’approbation des troisième et quatrième revue du programme d’aide en cours dans le pays. C’est du moins le résultat des actions concernant l’assainissement des finances publiques et la bonne gouvernance marquée par la lucidité du climat des affaires.

Avec ce décaissement, le total de l’aide versée à la RCA dans le cadre du programme de 197 millions de dollars, approuvé en avril 2023, atteint désormais 124 millions de dollars. Une bouffée d’oxygène pour un pays dont les autorités, notamment le Président Touadéra engage des actions rigoureuses pour faire face aux multiples défis économiques et sécuritaires.

Selon le FMI, cette enveloppe vise à « répondre aux besoins urgents de la balance des paiements » et à garantir le financement des services publics essentiels, notamment dans les secteurs de la santé et de l’éducation, qui font partie des dix domaines d’impulsion présidentielle.

L’institution de Bretton Woods a également salué les efforts du gouvernement centrafricain sous l’impulsion du Président Touadéra pour améliorer la gestion publique, en particulier les avancées dans la numérisation de l’administration fiscale, le renforcement de l’unité de renseignement financier et les progrès de la Cour des comptes.

Malgré un contexte marqué par des conflits persistants, le FMI prévoit une embellie modeste : une croissance économique de 3 % en 2025, en progression par rapport à l’année précédente. L’inflation, de son côté, devrait ralentir au second semestre, notamment grâce à la baisse récente des prix des carburants.

Ce nouveau soutien du FMI pourrait ainsi représenter un levier important pour la relance économique du pays, à condition qu’il s’accompagne de réformes structurelles durables et d’un climat politique plus apaisé. Cet accord vise à soutenir l’économie centrafricaine et à permettre au pays de mieux répondre à ses besoins de balance des paiements et de maintenir ses dépenses en services publics. Le FMI prévoit une croissance de 3% cette année de l’économie centrafricaine, en accélération par rapport à l’année dernière, avec une inflation qui devrait ralentir sur la deuxième partie de 2025, « en partie aidée par la baisse des prix à la pompe en mai ».

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